Des collégiens et lycéens de Fontenay-sous-Bois préparent et présentent ici leur rencontre avec l'auteur de livres pour la jeunesse Xavier-Laurent Petit. N'hésitez pas à réagir et participer à ce blog. Vous pourrez le rencontrer à la médiathèque Louis Aragon le samedi 26 mars 2011 à 16h.

mardi 15 février 2011

Wassim et Benjamin ont lu "Be safe"

Nous avons choisi ce livre car son titre nous a intrigués et nous n’avons pas regretté de l'avoir pris.
Nous avons adoré ce livre pour sa touche humoristique, sa touche d'amour et de suspens.
Nous avons trouvé amusants les moments où Oscar se comparait à Jéremy sur le plan amoureux.
L'ambiance de guerre racontée par Jeremy nous a beaucoup plue car elle insistait sur le plan
angoissant de celle-ci. En effet, on voit que, par tromperie, n'importe qui peut se faire enrôler dans l'armée.
Malheureusement la fin ne nous a pas plu du tout : nous avons l’impression que Xavier-Laurent Petit a voulu aller trop vite.


Wassim et Benjamin, 3°1, collège Joliot-Curie

Simon a lu "Be safe"

J'ai aimé ce livre, car il offre un angle de vue sur la guerre que je ne connaissais pas. La vision que l'on a habituellement de la guerre, c'est le front et les soldats au combat ; alors que là, nous voyons comment les familles supportent ça, comment elles le vivent. Ce point de vue est assez réaliste.
Le livre est bien écrit, on comprend les personnages et leurs sentiments, car nous ne pouvons pas connaître le point de vue d'un soldat, alors que le point de vue de la famille nous pouvons mieux le comprendre, on pourrait être dans la peau du personnage.

Simon, 3°1, collège Joliot-Curie

Mélodie et Adriane ont lu "Maestro"

Maestro, un livre passionnant !

Ses points forts :

L'auteur nous montre qu'il y a toujours une sortie de secours pour chaque épreuve. A chaque problème, quand ils arrivent au bord du gouffre, il y a une petite étincelle qui les sauve et en l'occurrence, pour ces enfants, c'est la musique.
Ce récit est très touchant, car il parle des enfants qui sont obligés de travailler pour survivre et qui pour la plupart n'ont pas d'autre choix que de dormir dans la rue ou dans de vieux abris complétement délabrés. De plus, on nous montre que l'Etat et la police ne font rien pour remédier à cela, bien au contraire, ils sont même très durs avec ces enfants. Xavier-Laurent Petit a dû beaucoup se renseigner sur les problèmes dans les rues pour créer ses personnages, avec chacun leur propre histoire.
Ce livre est très beau mais dur. Il nous montre toute la passion que peuvent avoir des enfants pour la musique. On peut avoir un but dans la vie et ce but peut arriver n'importe quand grâce à n'importe qui, et il faut toujours y croire comme Saturnino, ou Patte-Folle ('' Johann Strauss'') qui réalisera son rêve.

Son point faible :

Nous avons trouvé qu’il y avait un peu trop de répétitions dans le vocabulaire. Mais en même temps Xavier-Laurent Petit essaye de formuler les paroles de jeunes venant de milieu défavorisés.

Mélodie et Adriane, 3°1, collège Joliot-Curie

Klara a lu "Be safe"

Be Safe est un livre qui parle de plusieurs choses : de guerre, de jeunes en galère, de musique, d'amour …
Ce que je n'ai pas aimé c'est que je trouve que le départ de Jeremy est anticipé. On ne le suit pas dans son expérience ce qui est dommage car on a l'impression qu'il vit des choses plus intenses que son petit frère qui a plutôt une vie banale. Du coup on parle plus d'Oskar que Jeremy ce qui fait que la musique est plus présente dans le récit, ce qui est un point positif.

Klara, 3°1, collège Joliot-Curie

Aux frontières du réel : aventures littéraires de la 3°A du collège Victor Duruy

Voici le reportage radio sur le travail mené en classe à propos du roman Les yeux de Rose Andersen par la 3°A de Victor Duruy et diffusée sur la radio du collège : mise en perspective avec un fait divers s'étant produit à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique.



Emission réalisée par le Club radio de M. Burgos et la 3°A de Mme Savage et hébergée sur le site de l'Académie de Créteil.

Mohamed a lu "Be safe"

Je comprends la réaction des parents de Jérémy car tout le monde sait que la guerre est une chose terrible. 
Oskar découvre que son père a fait la guerre au Vietnam mais qu'il ne l'a jamais dit à ses fils. J'aurais fait la même chose car cela doit être très dur de parler, de se souvenir de cette période difficile. Je ferais tout pour éviter que mon fils s'engage. 
La guerre est une chose atroce, on doit voir et vivre des moments qui marquent pour la vie. Un homme doit vraiment avoir du courage. Tuer, torturer, se battre ne me plaît que dans les jeux vidéo. La guerre c'est terrible : le danger peut surgir n'importe quand et de n'importe où. Parfois, dans certains pays, les enfants font la guerre... Un enfant doit d'abord s'amuser, aller à l'école... Sa place n'est pas à la guerre! »

Mohamed, 3°1, collège Jean Macé

Mohamed a lu "L'attrape-rêves"

« Dès que Chem's est arrivé, j'ai tout de suite senti qu'il allait y avoir des problèmes. Il est mal accueilli par les élèves de sa classe. Ce n'est pas bien de l'avoir jugé sans lui avoir laissé la chance de s'intégrer dans le groupe. »
« Il me prend mon gibier, mon chien puis ma fille. » Cette phrase du père de Louise prouve à quel point il tient à sa file. Il ne veut pas la perdre comme il a perdu sa femme. Quant au chien, il a tout de suite ressenti que Chem's est quelqu'un de bien au fond de lui. »
« Chem's aime tellement la vallée qu'il est prêt à risquer sa vie et à aller en prison pour elle. Les pères travaillant sur le chantier viennent le chercher avec les chiens. Ils le retrouvent allongé dans la forêt. C'est une véritable chasse à l'homme. Ce passage me fait penser à de la vengeance, vengeance qui ne sert à rien parce que ça nourrit la haine »

Mohamed, 3°1, collège Jean Macé

Candyce a lu "Les yeux de Rose Andersen"

« J’aime ce livre parce qu’il retrace la vie d’une famille qui cherche à s’en sortir et qui traverse des étapes difficiles. »

Candyce, 3°1, collège Jean Macé

Junior a lu "Les yeux de Rose Andersen"

« Ce livre raconte la vie de personnes qui vivent une situation qui existe vraiment de nos jours »

Junior, 3°1, collège Jean Macé

Yourie a lu "Les yeux de Rose Andersen"

« Quand Adriana retourne dans sa ville natale à Santa Arena pour revoir sa mère et sa sœur, c’est comme un flash back, c’est une route en sens inverse depuis les Etats-Unis »

Yourie, 3°1, collège Jean Macé

Manuela a lu "Les yeux de Rose Andersen"

« Ce passage me fait penser que moi je ne manque de rien et que certains n’ont rien ».
« Je pense que ce n’est pas normal que des enfants travaillent dans de telles circonstances, dans des endroits où ils peuvent mourir. Je comprends le père qui veut quitter cette ville…ce pays ! »
 
Citations :
« Calamocarro, c’est partout où tu verras la misère la crasse et ces saletés de cabane en tôle »
« Sur cent qui tentent le coup, il y en a peut-être deux qui réussissent »
 
Manuela, 3°1, collège Jean Macé

Paloma a lu "Maestro"

« La musique c’est vital »

« Ca me fait penser aux petits orphelins que je vois à la télé dans des reportages dans différents pays et aux passants et touristes qui les méprisent et les regardent d’un mauvais œil. Ce sont des enfants ! »
 
« Le vieux croit beaucoup en eux (les enfants de la rue), il sent qu’ils revivent quand il leur apprend à jouer des instruments. De plus leur enthousiasme est flagrant »

Paloma, 3°1, collège Jean Macé

Présentation des 3°1 du collège Jean Macé

samedi 12 février 2011

Lettre de Tartamudo à son fils

Des élèves de 3ème A du collège Victor Duruy ont imaginé la lettre que Tartamudo, personnage de Maestro, pourrait écrire plus tard à son fils. Par Valentin CALLIER et Mathilde IMBAUD :

Mon cher fils adoré,

Tout d’abord j’espère que tu vas bien. Je t’envoie cette lettre car maintenant tu deviens grand et je pense que tu dois savoir que je n’ai pas toujours vécu dans la facilité et la réussite…
Je ne te l’ai jamais dit auparavant, mais quand j’étais jeune j’étais ce qu’on appelle un pilluelos. Pour m’en sortir, j’arpentais les rues pour pouvoir vendre à l’unité des cigarettes de contrebande. Cela pendant des années. Je n’en suis pas trop fier, mais c’était le seul moyen de ne pas mourir… Cette routine était dure et dangereuse…
Puis vint un jour où des amis sont venus me chercher pour m’annoncer qu’une école de musique pour les gamins comme nous venait d’être créée. J’ai tout de suite voulu voir de quoi il s’agissait. C’était effectivement une école de musique. Un vieil homme, que certains avait l’air de déjà connaitre, nous a accueillis. J’ai regardé attentivement ce monsieur, il était comme je n’en avais jamais vu auparavant : tout était parfait chez lui, de haut en bas ! Je me rendis compte que beaucoup d’autre pilluelos que je connaissais venaient aussi. L’Escuela était faite pour apprendre la musique à des gosses comme nous !
On nous demanda alors tous de choisir un instrument. Moi je ne voulais rien prendre, je voulais chanter. Mais j’avais un problème que tu ne connais pas non plus : je bégayais. Heureusement le professeur que j’avais était magique : grâce à elle, j’ai les talents de chanteur que tu connais aujourd’hui, et je ne bégaie plus. Même si cette petite grosse passait son temps à s’égosiller sur moi, je lui dois tout…
Les répétitions s’enchaînèrent, jusqu’au jour où on nous annonça que le président, un ami du vieil homme, viendrait nous entendre ! Mais malheureusement à peine le premier morceau terminé, nous entendîmes un bruit de foule oppressant se diriger vers nous : des manifestants… Ils étaient là pour le président, qui n’était guère aimé du peuple... Tous fous de rage, les manifestants ont fini par mettre le feu à l’Escuela... Il ne restait plus rien de notre seul espoir de nous sortir de cette vie de misère !
J’ai alors continué de chanter dans la rue pour quelques pièces, jusqu’au jour où un homme est venu me voir pour me dire qu’il voulait faire de moi un chanteur. J’ai ensuite grandi et enchaîné les concerts, puis rencontré ta mère. La suite tu la connais...
Si je t’ai raconté mon parcours, ce n’est pas pour que tu t’apitoies sur mon sort, mais je veux que tu saches que que tout le monde peut s’en sortir,  même en partant de très bas. Ne te décourage jamais !

Bisous,
Papa

jeudi 10 février 2011

Journal intime de Franck O'Neill

Des élèves de 3ème A du collège Victor Duruy ont imaginé le journal intime que Franck O'Neill, père des personnages principaux de "Be safe", pourrait écrire.
P
ar Adam MAHIEDDINE et Matéo TROIANOVSKI :

3/07/20...
Je n'y crois pas, comment est-ce possible? C'est exactement le même type d'ignorance qui a causé mon erreur d'il y a 30 ans, penser que ces sal**** de militaires utilisent toujours la même technique; en traquant les jeunes comme du gibier et en leur bourrant le crâne de toutes ces sottises… «Construire des ponts»!... Il sera mutilé, comme moi, et je ne pourrai rien faire.
Et dire que mon propre fils s'y est laissé prendre, se faire soudoyer par ces chiens de l'armée, vraiment, y'a des jours... Moi qui pensais passer une bonne journée... Mes fils vont acheter du coca et voilà qu'ils reviennent avec un papier d'embauche.
Moi seul peux savoir qu’après les ponts, ce sera le véritable enfer, l’entraînement de tirs, et après ça ... J'en ai trop ch** , il faut que je trouve une solution...



09/01/20…
J'en étais sûr! Déjà à NOËL, ça pouvait se lire sur son visage, et voilà que, une dizaine de  jours après, mon doute se transforme, comment ont-ils pu et osé me faire ça?
Pourtant, ça m'a fait très plaisir quand j'ai pu revoir Jérémy, la joie que j'ai eue de le revoir vivant était vraiment importante, mais sa spécialisation vers tireur d'élite m'inquiétait déjà, je pense que je suis l'homme le mieux placé pour ressentir et comprendre les émotions et sentiments qu'il peut avoir là-bas; moi même j'ai été le meilleur de tous ces tireurs d'élite, je pensais comme Jeremy que j'allais adorer, mais je me suis vite rendu compte de l'horreur qu'engendre ce foutu métier, la joie que j'avais à presser la gâchette s'est transformée en un véritable cauchemar, je ne pouvais me rendre à l'évidence, mais j'ai enlevé des vies!
Grâce à Oskar qui a oublié d'éteindre l'ordinateur ou au moins de fermer la page des e-mails, j'ai pu savoir tout ce que Jérémy nous cachait avec ces lettres qui étaient purement fausses…
Malgré ça, c'est vrai que j'aimerais lui dire «be safe».



09/05/20…

Je suis soulagé et heureux, c'est vraiment magnifique! Jérémy a, dans la nuit d'hier, déserté! Même s'il a reçu l'aide de maman et qu'il est parti sans me le dire ni me prévenir d'une façon ou d'une autre, je suis enfin fier de lui:  il a réussi le geste que moi-même je n'ai pu faire, et maintenant, il suit sa propre route dans ce vaste monde, il n'aura pas à torturer de pauvres gens, il n'aura pas à tuer des gens au cœur pur et il n'aura pas à avoir la peur qu'il pouvait ressentir là-bas. 
J'arrive aujourd’hui à la dernière page de ce journal, et c'est la première fois que j'écris dedans en étant profondément heureux. J'aimerais maintenant dire à tous ceux que j'aime et à tous les militaires du monde ces derniers mots :

BE SAFE.


mardi 8 février 2011

Lettre d’Adriana à son fils

Des élèves de 3ème A du collège Victor Duruy ont imaginé la lettre qu'Adriana, personnage central des "Yeux de Rose Andersen", pourrait écrire plus tard à sa fille. Par Liliane GRANDET, Annabel LEGALL et Camélia ZIANI :
                                    
Mon cher fils,

Je commence à prendre de l’âge et tu n’es pas à mes côtés, mais ne t’en fais pas, je comprends que tu n’ais pas le temps… Je me suis aperçu que je ne t’ai jamais raconté le parcours de ma réussite… Il est temps désormais.
Tu sais que j’ai passé mon enfance à Santa Arena avec tes grands-parents, ta tante Belzunce et ton oncle Guillermo. Mon grand-père m’emmenait souvent sur une colline avec mon frère où l’on pouvait contempler la ville des ranjeros. Il me disait que là-bas, les gens étaient riches, les toits couverts d’or, les rues en argent et que les femmes avaient les yeux verts comme les dollars. 
A sa mort le père voulut déménager car la vie devenait trop dure. Il décida de nous emmener à Calamoccaro pour y trouver du travail. Mais il s’avéra que là-bas la misère était plus grande qu’à Santa Arena. Le père cherchait en vain du travail, quant à ta grand-mère, elle était serveuse dans un restaurant d’où elle rentrait tard le soir et nous ramenait les restes de frites froides pour nous nourrir.
Un jour, nous fîmes la connaissance d’une certaine Mama Yosefa, elle était vieille, forte, ridée et elle connaissait très bien le quartier. Cette femme nous proposa d’assurer notre sécurité contre cinq monedas par jours, mais elle n’acceptait aucun retard… Il valait mieux être à jour car à Calamoccaro le danger régnait !...
Le père voulait à tout prix passer la frontière, mais le salaire de ma mère n’était pas suffisant pour payer le loyer à Mama Yosefa et pour économiser jusqu'à mille dollars : le prix d’un passeur… Mon frère et moi devions travailler dans une usine : la Chemical & Petrological Corporation, en récurant les cuves de produits toxiques. Malheureusement Guillermo plongea dans la drogue et ramena assez d’argent pour que l’on puisse passer la frontière du Cerco. Nous trouvâmes notre passeur, il y avait aussi deux hommes avec nous. Cette traversée fut un cauchemar : nous étions dans une camionnette à l’arrière, écrasés par des moutons qui nous asphyxiaient avec leur odeur infecte, et la chaleur était épouvantable. Seuls moi, Guillermo et l’un des deux hommes réussîmes à passer.
Grâce à l’aide de cet homme, nous fûmes hébergés par une jeune femme pas très aimable, nommée Amanda. J’avais trouvé du travail dans le next dream studio où j’étais simplement une femme de ménage, C’est là que je vis une magnifique jeune femme aux yeux verts, conforme à ce que nous avait promis grand-père. Cette actrice, Rose Andersen, était fort capricieuse, et comme je lui ressemblais beaucoup, je devins sa doublure officielle. Ton oncle, je ne le voyais plus, c’était devenu un dealer qui était prisonnier de sa drogue.
Un jour, il réapparut sur le parking du studio pour me demander de l’argent. Hélas il était suivi pour un règlement de compte et c’est lors de la fusillade que Rose fut tuée !… Sans réfléchir, je me fis passer pour elle : j’avais fait croire à ma mort, mais personne ne s’en souciait vraiment. Mon rêve pouvait enfin se réaliser… Je devins une très grande actrice, je travaillais avec les plus grands et ma petite sœur finit par me rejoindre. Voilà tu sais tout à présent…

 Affectueusement ta petite maman

mercredi 2 février 2011

Paule a lu "Miée"

"C’est un  bon livre, très facile à lire, que j’ai apprécié."
Paule, 4°5, collège Jean Macé

Alice a lu "Miée"

"Je n’ai pas aimé ce livre car l’histoire se finit mal. Je trouve ça trop triste et sans action. Par contre, il m’a semblé très réaliste. Je conseille ce livre à ceux qui aiment les histoires émouvantes."
 Alice, 4°5, collège Jean Macé 

Benjamin a lu "L’homme du jardin"

"Mélie vit seule avec son père dans une grande maison. Quand elle se retrouve toute seule, elle s’inquiète. Un jour, elle découvre un homme suspect dans son jardin…
Ce livre parle de solitude, du dépassement de soi, communément ressentis à l’adolescence."
Benjamin, 4°5, collège Jean Macé 

Emily a lu "L’homme du jardin"

"J’ai bien aimé ce livre car on se croirait à la place du personnage de la jeune fille, il y a de la peur et du suspense. J’ai particulièrement aimé le passage où l’homme est secouru par Mélie et celui où elle empêche les gendarmes d’entrer sous prétexte qu’elle ne doit pas ouvrir aux inconnus…"
Emily, 4°5, collège Jean Macé

Nimra a lu "L’homme du jardin"

"J’ai aimé ce livre car c’est intéressant. L’action et le suspense ont fait que j’avais envie de le lire jusqu’à la fin. Je voulais savoir ce qui allait se passer pour la jeune fille, si l’homme allait revenir ou pas. C’est un très beau livre."
Nimra, 4°5, collège Jean Macé

Mélissa a lu "L’homme du jardin"

"L’homme du jardin raconte l’histoire de Mélie, une fille qui vit seule dans une grande maison car son père, médecin, n’est jamais présent. Un matin, Mélie trouve un homme blessé étendu dans le jardin. Lorsque l’homme lui demande son aide, il l’appelle par son prénom…
J’ai aimé ce livre car dès le début on entre dans le même sentiment d’inquiétude et de mystère que Mélie et on veut savoir tout le contenu du live. Qui est cet homme ? Comment la connaît-il ? Plusieurs questions nous passent par la tête et on découvre les réponses de celles-ci en même temps que Mélie.
J’ai aimé ce livre même s’il manque de réalisme par rapport à l’identité de l’homme du jardin."
Mélissa, 4°5, collège Jean Macé

Céline a lu "L’homme du jardin"

"J’ai bien aimé ce livre : il y a de l’action, le personnage principal vit une histoire assez touchante et la fin se finit bien, comme il faut. Par contre, ça n’est pas assez réaliste." 

Céline, 4°5, collège Jean Macé

Thimothé a lu "L’homme du jardin"

"J’ai bien aimé le mélange de peur et d’angoisse que Mélie ressent quand son père part travailler la nuit, jusqu’au jour où elle rencontre l’homme du jardin. J’ai apprécié la fin où tous les secrets sont dévoilés."
Thimothé, 4°5, collège Jean Macé

Zeïneb a lu "L’homme du jardin"

"Je n’ai pas vraiment aimé ce livre que je ne trouve pas du tout réaliste. Il raconte l’histoire d’Amélie, une fille d’une douzaine d’années qui vit la plupart du temps seule chez elle, car son père travaille comme médecin aux urgences d’un hôpital et sa mère est décédée. Un jour, elle trouve, dans son jardin, un homme blessé qui connaît son nom ; elle accepte alors de le faire entrer et de le soigner.
Mais quelle fille de cet âge accepterait de soigner un inconnu blessé qu’elle aurait trouvé dans son jardin ?
Je me suis donc forcée à lire ce livre jusqu’au bout…La fin n’est ni triste ni heureuse et, comme pour Maestro, m’a donné l’impression que l’auteur a voulu finir le livre précipitamment."
 Zeïneb, 4°5, collège Jean Macé

Benjamin a lu "Maestro"

"Saturnino et sa petite sœur, Luzia, ainsi que Patte-folle, leur ami sont des gamins des rues habitant près de l’aéroport de la capitale d’un pays sud-américain.
J’ai beaucoup aimé ce livre, qui parle de pauvreté, d’amitié et de musique. J’ai bien aimé ce livre car l’histoire est vraiment entraînante et on s’imagine très bien dans la peau des personnages, que ce soit Saturnino ou Luzia."
Benjamin, 4°5, collège Jean Macé
 

Gabriel a lu "Maestro"

"Maestro m’a beaucoup plu. J’ai trouvé les personnages très attachants et les aventures qu’ils vivent ne laissent au lecteur que peu de répit. Le personnage du maestro lui-même est le plus mystérieux mais aussi le plus intéressant. Par contre, si l’histoire délivre un message, je ne l’ai pas découvert…Après l’avoir lu, j’ai voulu écouter « la marche de Radestsky » !"
 Gabriel, 4°5, collège Jean Macé

Joris a lu "Maestro"

"J’ai bien aimé ce livre car l’histoire est vraiment entraînante et on s’imagine très bien dans la peau des personnages, que ce soit Saturnin ou Luzia."

Joris, 4°5, collège Jean Macé

Présentation des 4ème 5 du collège Jean Macé (3)


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