Des collégiens et lycéens de Fontenay-sous-Bois préparent et présentent ici leur rencontre avec l'auteur de livres pour la jeunesse Xavier-Laurent Petit. N'hésitez pas à réagir et participer à ce blog. Vous pourrez le rencontrer à la médiathèque Louis Aragon le samedi 26 mars 2011 à 16h.

lundi 14 mars 2011

Katia et Laetitia ont lu "Mon petit coeur imbécile"


RESUME :
Sisanda a 9ans. Elle est atteinte d'une maladie du cœur lui interdisant tout effort. Elle a comme seule compagnie les chiffres qu'elle adore, et Maswala sa ''mamantilope '' qui court tous les jours.
Après être revenue d'une visite annuelle à l'hôpital pour Sisanda, Maswala tombe sur
un journal indiquant une forte récompense pour le 1er prix d'une course.
Ayant appris l'énorme somme qu'elle devrait réunir pour faire opérer sa fille, elle ne voit qu'une seule solution : gagner la course et remporter la récompense.

IMPRESSIONS :
Katia :
« J'ai trouvé ce livre très intéressant car on a vraiment l'impression d’être auprès de Sisanda et de sa famille. Le récit est très réaliste. Il y a assez de suspense et beaucoup d'amour entre Sisanda et sa mère »

Laetitia :
« J'ai beaucoup apprécié ce livre. Ce qui m'a le plus plu est la réaction du village, quand Maswala veut participer à la course. Tout le monde est solidaire et l'encourage.»

 Katia et Laetitia, 4ème, collège Victor Duruy

Loris, Romain et Oussama ont lu "Miée"


"Nous avons lu tous les trois un livre s’appelant Miée. Le livre raconte l’histoire d’une grand mère (Miée) affectée par une maladie du cerveau, qui n'est malheureusement pas soignable: la maladie d'Alzheimer.
Cette histoire commence par la vie d'une jeune fille appelée Anna. Elle voulait aller voir sa grand-mère, qu'elle n’avait pas vue depuis très longtemps en raison des grandes vacances. Elle aimait beaucoup les roudoudous que sa grand mère lui préparait.
Un jour qu'Anna lui rendait visite, elle s’aperçut que Miée n’était pas coiffée comme d’habitude. Son changement de comportement  étonnait beaucoup Anna, qui prit d’abord ça pour un jeu. Malheureusement en guise de jeu, c'était une grave maladie…
Nous trouvons que ce roman décrit bien la réalité dans laquelle peuvent vivre les familles des gens atteints de cette maladie. Et nous pensons qu’il pourra influencer le comportement de ceux qui ne la connaîtrait pas. Nous avons trouvé ce livre triste: nous ne voudrions pas être à la place d’Anna. Car Anna aime beaucoup sa grand-mère, et apprend sa maladie brusquement, alors qu'elle prenait cela pour un jeu."


Loris Storni, Romain Keller et Oussama Ouhibi, 4ème, collège Victor Duruy

Adèle a lu "Miée"


"Anna, une petite fille, a une grand-mère qu'elle adore. Elle va chez elle après l'école, le matin et le week-end.
Ensemble, elles font dans une petite casserole des roudoudous au caramel, elles se racontent tout.
Sa grand-mère, Anna elle l'appelle Miée.
Un jour, Anna va chez elle, après les grandes vacances, mais Miée n'est pas comme d'habitude.
Elle est décoiffée, désorientée, et elle ne reconnaît pas Anna, sa propre petite fille.
Au début, Anna pense que c'est un jeu, et elle le joue avec elle.
Très vite, Miée se souvient de moins en moins de choses; elle a des sautes d'humeur, ne sait plus où elle en est.
Alors Anna décide de tout faire pour reboucher les trous de mémoires de sa grand-mère, avec patience et amour.

- J' ai aimé le moment de la rentrée, et lorsque Miée, hagarde, ne se souvient plus d'Anna.
- J'ai aussi aimé le jour de Noël.
- Enfin j'ai aimé la rencontre entre Myriah et Miée.
- Je n'ai par contre pas aimé la fin, quand Miée est installée dans la maison de retraite..."

Adèle, 4ème, collège Victor Duruy

Virginie, Juliette, Antonin, Paul-Emile, Isaac et Adèle ont lu "Maestro"


RÉSUMÉ:
                   
       Saturnino tente de survivre avec sa petite soeur Luzia et son meilleur ami Patte Folle dans un quartier où seule la misère règne. Comme beaucoup d’autres, il est cireur de chaussures... Mais pour manger, il doit aussi commettre des actes dont personne ne serait fier.
Alors qu’il tente de voler l’un de ses clients, il se fait prendre par les Macacos, mais un homme mystérieux, soi-disant ami du président, le sauve du bagne, ou même pire...
Accueilli par cet étranger qui se révèle être un chef d’orchestre, Saturnino découvre en lui une grande passion pour le violoncelle. C’est le début d’une grande aventure  pleine d’actions, de sentiments, et avant tout de musique...

COMMENTAIRE :

    Ce livre reflète le monde que créé la musique dans des milieux misérables, musique synonyme de liberté et d’espoir. La fin est cependant un peu décevante, car les héros auxquels on s’était attaché durant toute la narration se retrouvent replongés dans leurs milieux d’origine : la musique ne leur a finalement rien apporté, sinon le plaisir qu’ils ont eu à la jouer et à l’écouter.


Virginie, Juliette, Antonin, Paul-Emile, Isaac et Adèle, 4ème, collège Victor Duruy

Anatole, Johan, Victor et Maxime ont lu "Maestro"


Résumé :
C’est l’histoire de misérables vivants dans la rue. Les personnages principaux sont Pate-Folle, Luzia, et Saturnino. Tous les misérables ont leurs petits métiers qui leur permettent d’acheter leur pain :
Ils sont cireurs de chaussures, vendeurs de journaux, laveurs de voiture et autre…
Pour la plupart, ils vivent sans abris et aucun d’entre eux n’a de parents. Mais un soir, ils vont rencontrer un homme qui va les inviter chez lui… 
Certain vont venir et étant arrivés à la grande demeure où vit cet homme, ils vont entendre de la musique, une musique qui va changer leur vie…

Passage préféré :
Pages 127 à 132

Pourquoi le lire :
Ce livre nous a plu, mais il est en même temps très triste. Il est bien écrit et parle de pauvres enfants qui vont s’enrichir avant de sombrer dans la pauvreté de nouveau. Même s'il est triste et que la première personne qui lit le résumé n'a pas forcément directement envie de la lire, en raison de toutes ces choses tristes, il est entrecoupé de passages d’actions qui motivent la lecture.

FIN

Anatole, Johan, Victor et Maxime, 4ème, collège Victor Duruy

Sara, Katya et Axel ont lu "L’homme du jardin"


"
C'est l'histoire d'une jeune fille nommée Amélie et âgée de  treize ans qui, un soir, découvre un homme allongé et blessé dans son jardin. Alors que son père est absent, elle le recueille et le soigne. L'homme agit comme s'il connaissait la petite. Elle le nourrit et l'héberge jusqu'à ce que la police sonne à sa porte.
Les policiers, qu'Amélie ne supporte pas, lui annoncent qu'aux alentours de sa maison un terroriste s'est échappé. La petite fait directement le lien avec l'homme du jardin. Mais malgré cela, sans trop savoir pourquoi, elle ne va pas le dénoncer mais le protéger.
Voulant savoir à tout prix qui est l'homme, Amélie va faire des recherches sans rien trouver à part une simple petite photo de sa mère où apparaît en arrière-plan le fameux homme du jardin. La petite devra attendre l'arrivée de son père pour connaître la vérité..."

Sara, Katya et Axel, 4ème, collège Victor Duruy

Marine, Laure-Amélie et Sonia ont lu "L’homme du jardin"


"C’est l’histoire d’une petite fille, Mélie qui se retrouve toute seule la nuit dans sa grande maison car son père travaille aux urgences à l’hôpital.
Elle a très peur, elle met la musique très fort et allume toutes les lumières. Pour cacher sa peur, elle mange énormément devant la télé et elle est assez enveloppée. Elle ne dort jamais dans sa chambre et s’endort toujours sur le canapé.
Un matin elle aperçoit dans son jardin un homme qui respire encore, qui est blessé et qui connait son nom. Intriguée, elle le soigne et le cache de la police qui le recherche pour des faits qu’elle ne connait pas encore. De plus en plus de preuves lui montrent que cet homme l’a déjà connue.
La police vient plusieurs fois l’interroger mais Mélie le protège et finit par apprendre le lien qui les unit.

Nous avons aimé ce livre car jusqu'à la fin du récit il y a du suspens et on ne sait pas ce qu’il est ni ce qu’il a fait. On ne s’attend pas du tout a ce que la fin se termine de cette façon. De plus ce livre est écrit du point de vue interne donc nous connaissons tous les sentiments et les pensées de Mélie.
Les passages de terreur sont très bien décrits ainsi que la description de l’homme du jardin.
On aurait juste aimé en savoir plus sur le passé de l’homme. L’histoire est bien trouvée et bien construite, les faits s’enchainent logiquement et nous vous conseillons ce livre."


Marine, Laure-Amélie et Sonia, 4ème, collège Victor Duruy

jeudi 10 mars 2011

Antoine a lu "Be safe"

"Un livre très...touchant, par la description et l'évolution des sentiments des personnages, mais tout aussi poignant par la vision de la guerre et de se qu'elle implique. Avec "Fils de guerre", "Be safe" est sans doute le roman le plus "dur" de cet auteur que j'ai pu lire jusqu'à présent.
Lorsque l'on lit les premières pages, on sent clairement se qui va arriver. Mais il m'a semblé que l'histoire était tournée de façon à ce que le lecteur parvienne à partager la "désillusion" du frère ainé, en nous rapprochant d'une vision réaliste, mais un peu lointaine de la guerre (correspondance par emails). Le livre repose principalement sur une histoire d'amour, et sur les messages de Jérémie. J'ai particulièrement apprécié le fait que Xavier Laurent Petit se soit servit de la Musique pour faire la relation entre la guerre et l'amour. L'angoisse de la guerre est décrite de manière intéressante, elle nous mène rapidement à la désertion de Jeremy, et nous laisse sur une fin incertaine, mais bien ordonnée, qui laisse imaginer le meilleur et le pire pour le frère d'Oskar...
Une histoire un peu désabusée, qui raconte l'angoisse et l'incertitude de la guerre, couplée à une histoire d'amour et de musique, qui parvient à donner une bonne touche de gaité au roman, sur une fin presque heureuse. Poignant."

Antoine, 3°1, collège Joliot-Curie

mercredi 9 mars 2011

Antoine a lu "L'attrape-rêves"

"J'ai tout d'abord trouvé que le titre était étonnamment bien intégré dans le roman, et que cet élément a réellement apporté quelque chose à l'histoire. Comme dans la plupart ses œuvres, Xavier Laurent Petit ne définit pas de contexte géographique, ou même historique, malgré le fait qu'il s'appuie sur des faits réels de l'actualité dans ses romans. Mais il y introduit certaines références. J'ai été troublé par la mention de la chanson "Imagine" (accompagnée de quelques paroles) de John Lennon des Beatles, page 46. L'auteur fait référence au chanteur presque trente ans après sa mort. Peut-être un hommage, d'autant plus que cette mention revient à plusieurs reprises au cours de l'histoire. Le décor est attachant. Les personnages m'ont semblé intéressant, de par leur rôle, leur caractère, et leur prise de position bien définit. Le personnage de M.Harrison (professeur de français) m'a particulièrement plu. Xavier Laurent Petit lance rapidement l'intrigue avec la rencontre de "Chem's", un personnage mystérieux et un peu sauvage, et de Louise, une simple jeune fille. Cette rencontre se fait dans un contexte particulier : les personnages de l'histoire vivent dans un monde séparé en deux grandes parties, ceux de la Ville, et ceux de la Vallée.Ces parties entretiennent une haine qui se transmet de génération en génération; on ne se mélange pas. Il est donc normal que lors qu'arrive un étranger, il ne soit pas accueillit à bras ouvert. La fin est bien choisie, mais peut-être trop brève, et manque de détails. Attachant !"

Antoine, 3°1, collège Joliot-Curie

mardi 15 février 2011

Wassim et Benjamin ont lu "Be safe"

Nous avons choisi ce livre car son titre nous a intrigués et nous n’avons pas regretté de l'avoir pris.
Nous avons adoré ce livre pour sa touche humoristique, sa touche d'amour et de suspens.
Nous avons trouvé amusants les moments où Oscar se comparait à Jéremy sur le plan amoureux.
L'ambiance de guerre racontée par Jeremy nous a beaucoup plue car elle insistait sur le plan
angoissant de celle-ci. En effet, on voit que, par tromperie, n'importe qui peut se faire enrôler dans l'armée.
Malheureusement la fin ne nous a pas plu du tout : nous avons l’impression que Xavier-Laurent Petit a voulu aller trop vite.


Wassim et Benjamin, 3°1, collège Joliot-Curie

Simon a lu "Be safe"

J'ai aimé ce livre, car il offre un angle de vue sur la guerre que je ne connaissais pas. La vision que l'on a habituellement de la guerre, c'est le front et les soldats au combat ; alors que là, nous voyons comment les familles supportent ça, comment elles le vivent. Ce point de vue est assez réaliste.
Le livre est bien écrit, on comprend les personnages et leurs sentiments, car nous ne pouvons pas connaître le point de vue d'un soldat, alors que le point de vue de la famille nous pouvons mieux le comprendre, on pourrait être dans la peau du personnage.

Simon, 3°1, collège Joliot-Curie

Mélodie et Adriane ont lu "Maestro"

Maestro, un livre passionnant !

Ses points forts :

L'auteur nous montre qu'il y a toujours une sortie de secours pour chaque épreuve. A chaque problème, quand ils arrivent au bord du gouffre, il y a une petite étincelle qui les sauve et en l'occurrence, pour ces enfants, c'est la musique.
Ce récit est très touchant, car il parle des enfants qui sont obligés de travailler pour survivre et qui pour la plupart n'ont pas d'autre choix que de dormir dans la rue ou dans de vieux abris complétement délabrés. De plus, on nous montre que l'Etat et la police ne font rien pour remédier à cela, bien au contraire, ils sont même très durs avec ces enfants. Xavier-Laurent Petit a dû beaucoup se renseigner sur les problèmes dans les rues pour créer ses personnages, avec chacun leur propre histoire.
Ce livre est très beau mais dur. Il nous montre toute la passion que peuvent avoir des enfants pour la musique. On peut avoir un but dans la vie et ce but peut arriver n'importe quand grâce à n'importe qui, et il faut toujours y croire comme Saturnino, ou Patte-Folle ('' Johann Strauss'') qui réalisera son rêve.

Son point faible :

Nous avons trouvé qu’il y avait un peu trop de répétitions dans le vocabulaire. Mais en même temps Xavier-Laurent Petit essaye de formuler les paroles de jeunes venant de milieu défavorisés.

Mélodie et Adriane, 3°1, collège Joliot-Curie

Klara a lu "Be safe"

Be Safe est un livre qui parle de plusieurs choses : de guerre, de jeunes en galère, de musique, d'amour …
Ce que je n'ai pas aimé c'est que je trouve que le départ de Jeremy est anticipé. On ne le suit pas dans son expérience ce qui est dommage car on a l'impression qu'il vit des choses plus intenses que son petit frère qui a plutôt une vie banale. Du coup on parle plus d'Oskar que Jeremy ce qui fait que la musique est plus présente dans le récit, ce qui est un point positif.

Klara, 3°1, collège Joliot-Curie

Aux frontières du réel : aventures littéraires de la 3°A du collège Victor Duruy

Voici le reportage radio sur le travail mené en classe à propos du roman Les yeux de Rose Andersen par la 3°A de Victor Duruy et diffusée sur la radio du collège : mise en perspective avec un fait divers s'étant produit à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique.



Emission réalisée par le Club radio de M. Burgos et la 3°A de Mme Savage et hébergée sur le site de l'Académie de Créteil.

Mohamed a lu "Be safe"

Je comprends la réaction des parents de Jérémy car tout le monde sait que la guerre est une chose terrible. 
Oskar découvre que son père a fait la guerre au Vietnam mais qu'il ne l'a jamais dit à ses fils. J'aurais fait la même chose car cela doit être très dur de parler, de se souvenir de cette période difficile. Je ferais tout pour éviter que mon fils s'engage. 
La guerre est une chose atroce, on doit voir et vivre des moments qui marquent pour la vie. Un homme doit vraiment avoir du courage. Tuer, torturer, se battre ne me plaît que dans les jeux vidéo. La guerre c'est terrible : le danger peut surgir n'importe quand et de n'importe où. Parfois, dans certains pays, les enfants font la guerre... Un enfant doit d'abord s'amuser, aller à l'école... Sa place n'est pas à la guerre! »

Mohamed, 3°1, collège Jean Macé

Mohamed a lu "L'attrape-rêves"

« Dès que Chem's est arrivé, j'ai tout de suite senti qu'il allait y avoir des problèmes. Il est mal accueilli par les élèves de sa classe. Ce n'est pas bien de l'avoir jugé sans lui avoir laissé la chance de s'intégrer dans le groupe. »
« Il me prend mon gibier, mon chien puis ma fille. » Cette phrase du père de Louise prouve à quel point il tient à sa file. Il ne veut pas la perdre comme il a perdu sa femme. Quant au chien, il a tout de suite ressenti que Chem's est quelqu'un de bien au fond de lui. »
« Chem's aime tellement la vallée qu'il est prêt à risquer sa vie et à aller en prison pour elle. Les pères travaillant sur le chantier viennent le chercher avec les chiens. Ils le retrouvent allongé dans la forêt. C'est une véritable chasse à l'homme. Ce passage me fait penser à de la vengeance, vengeance qui ne sert à rien parce que ça nourrit la haine »

Mohamed, 3°1, collège Jean Macé

Candyce a lu "Les yeux de Rose Andersen"

« J’aime ce livre parce qu’il retrace la vie d’une famille qui cherche à s’en sortir et qui traverse des étapes difficiles. »

Candyce, 3°1, collège Jean Macé

Junior a lu "Les yeux de Rose Andersen"

« Ce livre raconte la vie de personnes qui vivent une situation qui existe vraiment de nos jours »

Junior, 3°1, collège Jean Macé

Yourie a lu "Les yeux de Rose Andersen"

« Quand Adriana retourne dans sa ville natale à Santa Arena pour revoir sa mère et sa sœur, c’est comme un flash back, c’est une route en sens inverse depuis les Etats-Unis »

Yourie, 3°1, collège Jean Macé

Manuela a lu "Les yeux de Rose Andersen"

« Ce passage me fait penser que moi je ne manque de rien et que certains n’ont rien ».
« Je pense que ce n’est pas normal que des enfants travaillent dans de telles circonstances, dans des endroits où ils peuvent mourir. Je comprends le père qui veut quitter cette ville…ce pays ! »
 
Citations :
« Calamocarro, c’est partout où tu verras la misère la crasse et ces saletés de cabane en tôle »
« Sur cent qui tentent le coup, il y en a peut-être deux qui réussissent »
 
Manuela, 3°1, collège Jean Macé

Paloma a lu "Maestro"

« La musique c’est vital »

« Ca me fait penser aux petits orphelins que je vois à la télé dans des reportages dans différents pays et aux passants et touristes qui les méprisent et les regardent d’un mauvais œil. Ce sont des enfants ! »
 
« Le vieux croit beaucoup en eux (les enfants de la rue), il sent qu’ils revivent quand il leur apprend à jouer des instruments. De plus leur enthousiasme est flagrant »

Paloma, 3°1, collège Jean Macé

Présentation des 3°1 du collège Jean Macé

samedi 12 février 2011

Lettre de Tartamudo à son fils

Des élèves de 3ème A du collège Victor Duruy ont imaginé la lettre que Tartamudo, personnage de Maestro, pourrait écrire plus tard à son fils. Par Valentin CALLIER et Mathilde IMBAUD :

Mon cher fils adoré,

Tout d’abord j’espère que tu vas bien. Je t’envoie cette lettre car maintenant tu deviens grand et je pense que tu dois savoir que je n’ai pas toujours vécu dans la facilité et la réussite…
Je ne te l’ai jamais dit auparavant, mais quand j’étais jeune j’étais ce qu’on appelle un pilluelos. Pour m’en sortir, j’arpentais les rues pour pouvoir vendre à l’unité des cigarettes de contrebande. Cela pendant des années. Je n’en suis pas trop fier, mais c’était le seul moyen de ne pas mourir… Cette routine était dure et dangereuse…
Puis vint un jour où des amis sont venus me chercher pour m’annoncer qu’une école de musique pour les gamins comme nous venait d’être créée. J’ai tout de suite voulu voir de quoi il s’agissait. C’était effectivement une école de musique. Un vieil homme, que certains avait l’air de déjà connaitre, nous a accueillis. J’ai regardé attentivement ce monsieur, il était comme je n’en avais jamais vu auparavant : tout était parfait chez lui, de haut en bas ! Je me rendis compte que beaucoup d’autre pilluelos que je connaissais venaient aussi. L’Escuela était faite pour apprendre la musique à des gosses comme nous !
On nous demanda alors tous de choisir un instrument. Moi je ne voulais rien prendre, je voulais chanter. Mais j’avais un problème que tu ne connais pas non plus : je bégayais. Heureusement le professeur que j’avais était magique : grâce à elle, j’ai les talents de chanteur que tu connais aujourd’hui, et je ne bégaie plus. Même si cette petite grosse passait son temps à s’égosiller sur moi, je lui dois tout…
Les répétitions s’enchaînèrent, jusqu’au jour où on nous annonça que le président, un ami du vieil homme, viendrait nous entendre ! Mais malheureusement à peine le premier morceau terminé, nous entendîmes un bruit de foule oppressant se diriger vers nous : des manifestants… Ils étaient là pour le président, qui n’était guère aimé du peuple... Tous fous de rage, les manifestants ont fini par mettre le feu à l’Escuela... Il ne restait plus rien de notre seul espoir de nous sortir de cette vie de misère !
J’ai alors continué de chanter dans la rue pour quelques pièces, jusqu’au jour où un homme est venu me voir pour me dire qu’il voulait faire de moi un chanteur. J’ai ensuite grandi et enchaîné les concerts, puis rencontré ta mère. La suite tu la connais...
Si je t’ai raconté mon parcours, ce n’est pas pour que tu t’apitoies sur mon sort, mais je veux que tu saches que que tout le monde peut s’en sortir,  même en partant de très bas. Ne te décourage jamais !

Bisous,
Papa

jeudi 10 février 2011

Journal intime de Franck O'Neill

Des élèves de 3ème A du collège Victor Duruy ont imaginé le journal intime que Franck O'Neill, père des personnages principaux de "Be safe", pourrait écrire.
P
ar Adam MAHIEDDINE et Matéo TROIANOVSKI :

3/07/20...
Je n'y crois pas, comment est-ce possible? C'est exactement le même type d'ignorance qui a causé mon erreur d'il y a 30 ans, penser que ces sal**** de militaires utilisent toujours la même technique; en traquant les jeunes comme du gibier et en leur bourrant le crâne de toutes ces sottises… «Construire des ponts»!... Il sera mutilé, comme moi, et je ne pourrai rien faire.
Et dire que mon propre fils s'y est laissé prendre, se faire soudoyer par ces chiens de l'armée, vraiment, y'a des jours... Moi qui pensais passer une bonne journée... Mes fils vont acheter du coca et voilà qu'ils reviennent avec un papier d'embauche.
Moi seul peux savoir qu’après les ponts, ce sera le véritable enfer, l’entraînement de tirs, et après ça ... J'en ai trop ch** , il faut que je trouve une solution...



09/01/20…
J'en étais sûr! Déjà à NOËL, ça pouvait se lire sur son visage, et voilà que, une dizaine de  jours après, mon doute se transforme, comment ont-ils pu et osé me faire ça?
Pourtant, ça m'a fait très plaisir quand j'ai pu revoir Jérémy, la joie que j'ai eue de le revoir vivant était vraiment importante, mais sa spécialisation vers tireur d'élite m'inquiétait déjà, je pense que je suis l'homme le mieux placé pour ressentir et comprendre les émotions et sentiments qu'il peut avoir là-bas; moi même j'ai été le meilleur de tous ces tireurs d'élite, je pensais comme Jeremy que j'allais adorer, mais je me suis vite rendu compte de l'horreur qu'engendre ce foutu métier, la joie que j'avais à presser la gâchette s'est transformée en un véritable cauchemar, je ne pouvais me rendre à l'évidence, mais j'ai enlevé des vies!
Grâce à Oskar qui a oublié d'éteindre l'ordinateur ou au moins de fermer la page des e-mails, j'ai pu savoir tout ce que Jérémy nous cachait avec ces lettres qui étaient purement fausses…
Malgré ça, c'est vrai que j'aimerais lui dire «be safe».



09/05/20…

Je suis soulagé et heureux, c'est vraiment magnifique! Jérémy a, dans la nuit d'hier, déserté! Même s'il a reçu l'aide de maman et qu'il est parti sans me le dire ni me prévenir d'une façon ou d'une autre, je suis enfin fier de lui:  il a réussi le geste que moi-même je n'ai pu faire, et maintenant, il suit sa propre route dans ce vaste monde, il n'aura pas à torturer de pauvres gens, il n'aura pas à tuer des gens au cœur pur et il n'aura pas à avoir la peur qu'il pouvait ressentir là-bas. 
J'arrive aujourd’hui à la dernière page de ce journal, et c'est la première fois que j'écris dedans en étant profondément heureux. J'aimerais maintenant dire à tous ceux que j'aime et à tous les militaires du monde ces derniers mots :

BE SAFE.


mardi 8 février 2011

Lettre d’Adriana à son fils

Des élèves de 3ème A du collège Victor Duruy ont imaginé la lettre qu'Adriana, personnage central des "Yeux de Rose Andersen", pourrait écrire plus tard à sa fille. Par Liliane GRANDET, Annabel LEGALL et Camélia ZIANI :
                                    
Mon cher fils,

Je commence à prendre de l’âge et tu n’es pas à mes côtés, mais ne t’en fais pas, je comprends que tu n’ais pas le temps… Je me suis aperçu que je ne t’ai jamais raconté le parcours de ma réussite… Il est temps désormais.
Tu sais que j’ai passé mon enfance à Santa Arena avec tes grands-parents, ta tante Belzunce et ton oncle Guillermo. Mon grand-père m’emmenait souvent sur une colline avec mon frère où l’on pouvait contempler la ville des ranjeros. Il me disait que là-bas, les gens étaient riches, les toits couverts d’or, les rues en argent et que les femmes avaient les yeux verts comme les dollars. 
A sa mort le père voulut déménager car la vie devenait trop dure. Il décida de nous emmener à Calamoccaro pour y trouver du travail. Mais il s’avéra que là-bas la misère était plus grande qu’à Santa Arena. Le père cherchait en vain du travail, quant à ta grand-mère, elle était serveuse dans un restaurant d’où elle rentrait tard le soir et nous ramenait les restes de frites froides pour nous nourrir.
Un jour, nous fîmes la connaissance d’une certaine Mama Yosefa, elle était vieille, forte, ridée et elle connaissait très bien le quartier. Cette femme nous proposa d’assurer notre sécurité contre cinq monedas par jours, mais elle n’acceptait aucun retard… Il valait mieux être à jour car à Calamoccaro le danger régnait !...
Le père voulait à tout prix passer la frontière, mais le salaire de ma mère n’était pas suffisant pour payer le loyer à Mama Yosefa et pour économiser jusqu'à mille dollars : le prix d’un passeur… Mon frère et moi devions travailler dans une usine : la Chemical & Petrological Corporation, en récurant les cuves de produits toxiques. Malheureusement Guillermo plongea dans la drogue et ramena assez d’argent pour que l’on puisse passer la frontière du Cerco. Nous trouvâmes notre passeur, il y avait aussi deux hommes avec nous. Cette traversée fut un cauchemar : nous étions dans une camionnette à l’arrière, écrasés par des moutons qui nous asphyxiaient avec leur odeur infecte, et la chaleur était épouvantable. Seuls moi, Guillermo et l’un des deux hommes réussîmes à passer.
Grâce à l’aide de cet homme, nous fûmes hébergés par une jeune femme pas très aimable, nommée Amanda. J’avais trouvé du travail dans le next dream studio où j’étais simplement une femme de ménage, C’est là que je vis une magnifique jeune femme aux yeux verts, conforme à ce que nous avait promis grand-père. Cette actrice, Rose Andersen, était fort capricieuse, et comme je lui ressemblais beaucoup, je devins sa doublure officielle. Ton oncle, je ne le voyais plus, c’était devenu un dealer qui était prisonnier de sa drogue.
Un jour, il réapparut sur le parking du studio pour me demander de l’argent. Hélas il était suivi pour un règlement de compte et c’est lors de la fusillade que Rose fut tuée !… Sans réfléchir, je me fis passer pour elle : j’avais fait croire à ma mort, mais personne ne s’en souciait vraiment. Mon rêve pouvait enfin se réaliser… Je devins une très grande actrice, je travaillais avec les plus grands et ma petite sœur finit par me rejoindre. Voilà tu sais tout à présent…

 Affectueusement ta petite maman

mercredi 2 février 2011

Paule a lu "Miée"

"C’est un  bon livre, très facile à lire, que j’ai apprécié."
Paule, 4°5, collège Jean Macé

Alice a lu "Miée"

"Je n’ai pas aimé ce livre car l’histoire se finit mal. Je trouve ça trop triste et sans action. Par contre, il m’a semblé très réaliste. Je conseille ce livre à ceux qui aiment les histoires émouvantes."
 Alice, 4°5, collège Jean Macé 

Benjamin a lu "L’homme du jardin"

"Mélie vit seule avec son père dans une grande maison. Quand elle se retrouve toute seule, elle s’inquiète. Un jour, elle découvre un homme suspect dans son jardin…
Ce livre parle de solitude, du dépassement de soi, communément ressentis à l’adolescence."
Benjamin, 4°5, collège Jean Macé 

Emily a lu "L’homme du jardin"

"J’ai bien aimé ce livre car on se croirait à la place du personnage de la jeune fille, il y a de la peur et du suspense. J’ai particulièrement aimé le passage où l’homme est secouru par Mélie et celui où elle empêche les gendarmes d’entrer sous prétexte qu’elle ne doit pas ouvrir aux inconnus…"
Emily, 4°5, collège Jean Macé

Nimra a lu "L’homme du jardin"

"J’ai aimé ce livre car c’est intéressant. L’action et le suspense ont fait que j’avais envie de le lire jusqu’à la fin. Je voulais savoir ce qui allait se passer pour la jeune fille, si l’homme allait revenir ou pas. C’est un très beau livre."
Nimra, 4°5, collège Jean Macé

Mélissa a lu "L’homme du jardin"

"L’homme du jardin raconte l’histoire de Mélie, une fille qui vit seule dans une grande maison car son père, médecin, n’est jamais présent. Un matin, Mélie trouve un homme blessé étendu dans le jardin. Lorsque l’homme lui demande son aide, il l’appelle par son prénom…
J’ai aimé ce livre car dès le début on entre dans le même sentiment d’inquiétude et de mystère que Mélie et on veut savoir tout le contenu du live. Qui est cet homme ? Comment la connaît-il ? Plusieurs questions nous passent par la tête et on découvre les réponses de celles-ci en même temps que Mélie.
J’ai aimé ce livre même s’il manque de réalisme par rapport à l’identité de l’homme du jardin."
Mélissa, 4°5, collège Jean Macé

Céline a lu "L’homme du jardin"

"J’ai bien aimé ce livre : il y a de l’action, le personnage principal vit une histoire assez touchante et la fin se finit bien, comme il faut. Par contre, ça n’est pas assez réaliste." 

Céline, 4°5, collège Jean Macé

Thimothé a lu "L’homme du jardin"

"J’ai bien aimé le mélange de peur et d’angoisse que Mélie ressent quand son père part travailler la nuit, jusqu’au jour où elle rencontre l’homme du jardin. J’ai apprécié la fin où tous les secrets sont dévoilés."
Thimothé, 4°5, collège Jean Macé

Zeïneb a lu "L’homme du jardin"

"Je n’ai pas vraiment aimé ce livre que je ne trouve pas du tout réaliste. Il raconte l’histoire d’Amélie, une fille d’une douzaine d’années qui vit la plupart du temps seule chez elle, car son père travaille comme médecin aux urgences d’un hôpital et sa mère est décédée. Un jour, elle trouve, dans son jardin, un homme blessé qui connaît son nom ; elle accepte alors de le faire entrer et de le soigner.
Mais quelle fille de cet âge accepterait de soigner un inconnu blessé qu’elle aurait trouvé dans son jardin ?
Je me suis donc forcée à lire ce livre jusqu’au bout…La fin n’est ni triste ni heureuse et, comme pour Maestro, m’a donné l’impression que l’auteur a voulu finir le livre précipitamment."
 Zeïneb, 4°5, collège Jean Macé

Benjamin a lu "Maestro"

"Saturnino et sa petite sœur, Luzia, ainsi que Patte-folle, leur ami sont des gamins des rues habitant près de l’aéroport de la capitale d’un pays sud-américain.
J’ai beaucoup aimé ce livre, qui parle de pauvreté, d’amitié et de musique. J’ai bien aimé ce livre car l’histoire est vraiment entraînante et on s’imagine très bien dans la peau des personnages, que ce soit Saturnino ou Luzia."
Benjamin, 4°5, collège Jean Macé
 

Gabriel a lu "Maestro"

"Maestro m’a beaucoup plu. J’ai trouvé les personnages très attachants et les aventures qu’ils vivent ne laissent au lecteur que peu de répit. Le personnage du maestro lui-même est le plus mystérieux mais aussi le plus intéressant. Par contre, si l’histoire délivre un message, je ne l’ai pas découvert…Après l’avoir lu, j’ai voulu écouter « la marche de Radestsky » !"
 Gabriel, 4°5, collège Jean Macé

Joris a lu "Maestro"

"J’ai bien aimé ce livre car l’histoire est vraiment entraînante et on s’imagine très bien dans la peau des personnages, que ce soit Saturnin ou Luzia."

Joris, 4°5, collège Jean Macé

Présentation des 4ème 5 du collège Jean Macé (3)


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lundi 31 janvier 2011

Lettre de Tartamundo à son fils

Des élèves de 3ème A du collège Victor Duruy ont imaginé la lettre que Tartamudo, un des personnages de "Maestro", pourrait écrire plus tard à son fils. Par Mathilde IMBAUD et Valentin CALLIER :


Lettre de Tartamudo à son fils.

Mon cher fils adoré,

Tout d’abord j’espère que tu vas bien. Je t’envoie cette lettre car maintenant tu deviens grand et je pense que tu dois savoir que je n’ai pas toujours vécu dans la facilité et la réussite…
Je ne te l’ai jamais dit auparavant, mais quand j’étais jeune j’étais ce qu’on appelle un pilluelos. Pour m’en sortir, j’arpentais les rues pour pouvoir vendre à l’unité des cigarettes de contrebande. Cela pendant des années. Je n’en suis pas trop fier, mais c’était le seul moyen de ne pas mourir… Cette routine était dure et dangereuse…
Puis vint un jour où des amis sont venus me chercher pour m’annoncer qu’une école de musique pour les gamins comme nous venait d’être créée. J’ai tout de suite voulu voir de quoi il s’agissait. C’était effectivement une école de musique. Un vieil homme, que certains avait l’air de déjà connaitre, nous a accueillis. J’ai regardé attentivement ce monsieur, il était comme je n’en avais jamais vu auparavant : tout était parfait chez lui, de haut en bas ! Je me rendis compte que beaucoup d’autre pilluelos que je connaissais venaient aussi. L’Escuela était faite pour apprendre la musique à des gosses comme nous !
On nous demanda alors tous de choisir un instrument. Moi je ne voulais rien prendre, je voulais chanter. Mais j’avais un problème que tu ne connais pas non plus : je bégayais. Heureusement le professeur que j’avais était magique : grâce à elle, j’ai les talents de chanteur que tu connais aujourd’hui, et je ne bégaie plus. Même si cette petite grosse passait son temps à s’égosiller sur moi, je lui dois tout…
Les répétitions s’enchaînèrent, jusqu’au jour où on nous annonça que le président, un ami du vieil homme, viendrait nous entendre ! Mais malheureusement à peine le premier morceau terminé, nous entendîmes un bruit de foule oppressant se diriger vers nous : des manifestants… Ils étaient là pour le président, qui n’était guère aimé du peuple... Tous fous de rage, les manifestants ont fini par mettre le feu à l’Escuela... Il ne restait plus rien de notre seul espoir de nous sortir de cette vie de misère !
J’ai alors continué de chanter dans la rue pour quelques pièces, jusqu’au jour où un homme est venu me voir pour me dire qu’il voulait faire de moi un chanteur. J’ai ensuite grandi et enchaîné les concerts, puis rencontré ta mère. La suite tu la connais...
Si je t’ai raconté mon parcours, ce n’est pas pour que tu t’apitoies sur mon sort, mais je veux que tu saches que que tout le monde peut s’en sortir,  même en partant de très bas. Ne te décourage jamais !

Bisous,
Papa


samedi 29 janvier 2011

Nimra a lu "Mon petit coeur imbécile"

"Ce livre est génial, car il parle des gens en difficultés mais qui s’accrochent à leur vie. J’ai trouvé l’histoire étonnante et pleine de suspense. Elle m’a touché au cœur. C’était comme un battement de cœur en plus pour Sissanda !"
 
Nimra, 4°5, collège Jean Macé

Zeïneb a lu "Mon petit coeur imbécile"

"J’ai apprécié ce livre qui est très facile à lire car écrit en gros caractères. Il raconte l’histoire d’une fille d’une dizaine d’années qui lutte chaque jour contre sa maladie de cœur qui l’empêche de faire les choses les plus quotidiennes, courir ou jouer avec des enfants de son âge. L’acharnement que met la mère de l’enfant à trouver un moyen de guérir sa fille est émouvant et les touches de « surnaturel » qu’apporte l’auteur à l’histoire donne à celle-ci un côté enfantin…
J’ai aimé le fait que l’histoire se termine bien, sans pour autant que le lecteur en devine la fin, ce qui apporte un effet de surprise."

Zeïneb, 4°5, collège Jean Macé

mardi 25 janvier 2011

Andréa a lu "Mon petit coeur imbécile"

"Encore un titre de X.L Petit lu d’une traite ! Voici un roman très tendre, à l’écriture fluide…
A travers Sissanda, on sent l’inquiétude de la mère mais aussi son amour pour sa fille. La vie dans le village est également bien décrite…
En tout cas, pendant la lecture, votre rythme cardiaque se cale sur celui de l’héroïne : on retient son souffle et notre cœur s’emballe en même temps. C’est un texte sur la solidarité, le courage, la ténacité, l’amour…Les personnages, auxquels on s’attache rapidement, sont plein d’espoir et naïfs à la fois, et nous sommes transportés avec plaisir dans leur vie quotidienne.
Comme Sissanda, on espère, on frémit et on encourage Maswak avec ardeur !"
 
Andréa, 4°5, collège

Gwendoline a lu "Mon petit coeur imbécile"

"Les livres de X.L Petit sont très faciles à lire et nous racontent des histoires fabuleuses ou tristes mais qui se finissent toujours bien.
Celui que j’ai le plus aimé est Mon petit cœur imbécile qui nous raconte l’histoire d’une petite fille dont le cœur souffre d’une maladie grave. Elle ne pouvait ni courir, ni sauter, ni jouer, ce qui est très dur dans la vie d’un enfant. J’ai eu de la pitié pour cette petite fille et peur car elle risque de mourir à chaque instant."
 
Gwendoline, 4°5, collège Jean Macé

Gaëlle a lu "Mon petit coeur imbécile"

"J’ai bien aimé ce livre car il est émouvant et il y a un seul passage de suspense, mais cela suffit. Je ne m’attendais pas à la façon dont la mère va obtenir l’argent pour faire opérer sa fille. Cela montre à quel point les pays pauvres ont des difficultés à vaincre certaines maladies graves et doivent venir dans des pays plus riches pour se guérir."

Gaëlle, 4°5, collège Jean Macé

Gwendoline a lu "Les yeux de Rose Andersen"

"Le deuxième livre que j’ai préféré est Les yeux de Rose Andersen qui parle d’une famille dont Adriana, le personnage principale, et ses proches vivent une expérience très difficile. Il rêvent de rentrer dans la ville des ranjeros où tout le monde gagne beaucoup d’argent et où on a les yeux verts…Mama Yosefa, une « patronne » de bidonvilles, pense qu’Adriana mériterait une vie meilleure…."
 
Gwendoline, 4°5, collège Jean Macé

Zeïneb a lu "Les yeux de Rose Andersen"

"J’ai moyennement aimé ce livre bien que, lorsqu’on commence à le lire, on a tout de suite envie de le finir pour en connaître la fin. Il met en scène une famille pauvre issue d’un pays d’Amérique Latine qui tente de passer une frontière pour avoir une meilleure vie. Ce roman dénonce des faits qui se produisent encore aujourd’hui, c’est peut-être pourquoi je l’ai trouvé plus « noir » que Maestro ou Mon petit cœur imbécile.
J’ai été déçue par la fin qui, selon moi, est peu réaliste par rapport au reste de l’histoire."
 
Zeïneb, 4°5, collège Jean Macé

vendredi 14 janvier 2011

Célime a lu "Le monde d'en haut"

"Du 18 octobre au 15 décembre 2096 se déroulent des évènements inhabituels. Quelques habitants de Suburba, conduits par Lukas avec l'aide de sa soeur, vont revenir sur Terre après 70 ans de vie souterraine car l'air est devenu irrespirable.
Ce roman de science-fiction peut être vu sous plusieurs angles : on peut y lire le récit du complot organisé par les élèves de l'école d'ingénieurs dont fait partie Lukas, ou l'opposition du monde haut à celui du souterrain.
Les jeunes lecteurs pourront se mettre en relation avec les évènements d'aujourd'hui (la liberté, la sécurité, la loi, la vie quotidienne) et surtout l'environnement (la pollution de l'air). Par contre les illustrations sont assez mal formées et manquent de couleur."

Célime, 3°, stagiaire à la médiathèque Louis Aragon

Ruth a lu "Mon petit coeur imbécile"


"J’ai aimé ce livre parce que ça me racontait une histoire semée d’embûches. Et tout au long du
livre, je croyais que je savais déjà la fin alors que non, c’était une fin beaucoup plus positive que l’histoire.
C’est ça que j’ai aimé, l’effet de surprise."

Ruth, 4°5, collège Jean Macé

Andréa a lu "L'homme du jardin"

"L’homme du jardin de Xavier-Laurent Petit est un bon et très beau roman. J’ai apprécié son
contenu.
Dès le début, on rentre dans l’atmosphère inquiétante et mystérieuse. L’intrigue tenue tout
au long du récit nous garde accrochés à l’histoire et nous donne envie de connaître le fin
mot de l’histoire. La peur vous saisit petit à petit.
Les personnages ne sont pas très réalistes (le terroriste dans le jardin) mais nous touchent par
leurs réactions et leurs émotions. Le suspens est prenant. On peut se reconnaître, par exemple la peur d’être seule dans une grande maison ou les problèmes assez courants pour les adolescents, ce qui nous rapproche d’elle."

Andréa, 4°5, collège Jean Macé

Mélissa a lu "Les yeux de Rose Andersen"


"Les yeux de Rose Andersen est un livre de Xavier-Laurent Petit qui date de 2003.
Il parle d’une famille pauvre des bidonvilles de Santa Arena et qui, une fois arrivée à
Calamocarro, veut passer de l’autre côté de la frontière.
Dès le début de l’histoire, on est lancé et on veut tout simplement lire la suite. Dans les
grandes lignes, ce livre est à lire car rien de négatif n’est à l’horizon à part la fin qui est trop
prévisible et ressemble à la fin des films américains.
Ce livre est facile à lire car il est écrit en assez gros caractères."

Mélissa, 4°5, collège Jean Macé

Zeïneb a lu "Maestro"

"J’ai globalement aimé l’histoire qui est entrainante car pleine de rebondissements. J’ai aussi aimé le fait que l’auteur ne mentionne pas le nom du pays où se déroule l’histoire car cela laisse au lecteur la possibilité de se l’imaginer par lui-même.
J’ai également apprécié le réalisme du récit, notamment grâce à certains mots qui sont
retranscrits dans le dialecte du pays où se déroule l’histoire. J’ai par contre été déçue par la fin du récit que je trouve assez « plate » par rapport au reste de l’histoire et qui m’a donné l’impression que l’auteur a voulu finir d’écrire ce livre précipitamment."

Zeïneb, 4°5, collège Jean Macé

Timothé a lu "Maestro"


"Je trouve que l’auteur a bien décrit les lieux et l’ambiance sans nous donner le nom du pays. Il y a beaucoup de mots en espagnol qui nous transportent vers des pays d’Amérique latine et nous plongent dans une atmosphère particulière. Il parle surtout des sentiments des enfants dans un monde difficile sans trop parler de politique. En plus, l’histoire se termine bien."

Timothé, 4°5, collège Jean Macé

Présentation des 4ème 5 du collège Jean Macé (1)


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jeudi 6 janvier 2011

Un air de Maestro....



Johann Strauss est un des personnages de l'histoire de Maestro.
Et vous, pouvez-vous retrouver d'autres airs de musique dans les romans de Xavier-Laurent Petit ?